SERVICE EVANGELIQUE DES MALADES (SEM) de l’ensemble paroissial

Le 13 juin dernier, toute notre équipe d’une douzaine de personnes autour du père Vital s’est retrouvée au Carmel de Muret  pour une journée de relecture de l’année passée.

A la lumière de l’Evangile, revenir vers ceux qui nous ont envoyés pour rendre compte du déroulement de la mission qu’ils nous ont confiée. Laisser défiler toutes nos rencontres de l’année : visites aux personnes âgées ou malades, célébration dans les maisons de retraite, rencontres d’équipes, formations…

Le matin, nous avons approfondi en groupe le texte d’Evangile de l’aveugle Bartimée puis ensuite  pris un temps personnel pour réfléchir à ce que ce récit évoquait et faisait ressurgir dans nos cœurs.

L’après-midi était occupé par 2 ateliers : un atelier « photo langage » pour traduire nos activités de l’année passée et un atelier « mots » pour dire nos attentes pour l’année à venir.

Nos « mots » pour l’année à venir :

UNION – VISITE – CONTINUER – ENSEMBLE– PATIENCE – CHANTER- COURAGE –  SOLIDARITE – ENTHOUSIASME- PARTAGE – JOIE – CONFIANCE – LEVE-TOI, il T’APPELLE.

Une belle journée dans la joie, rythmée par des temps de prière commune et qui s’est achevée par la célébration eucharistique au cours de laquelle nous avons porté en offrande notre travail de réflexion et toutes les personnes visitées au cours de l’année ainsi que celles et ceux qui les accompagnent.

 

Service Evangélique des Malades

contact : Marie Louise Sanchez (06 26 89 25 94)

SERVICE EVANGELIQUE DES MALADES (SEM) de l’ensemble paroissial2024-09-19T12:02:32+02:00

Homélie du Père Joseph du XIV° dimanche du Temps Ordinaire, année B (2024)

Mes chers frères et sœurs !

Jésus est un missionnaire infatigable, se donnant sans compter, parcourant villages et villes pour enseigner, guérir, annoncer la Bonne nouvelle. Pour reprendre l’expression chère au pape François, Jésus est un missionnaire qui allait dans les périphéries d’Israël sans se fatiguer, passant de ville en ville, de village en village. Cependant, même les grands travailleurs et missionnaires ont besoin de repos, de retrouver la famille, revenir aux sources, Jésus aussi revient de temps en temps à la maison. Le père Vital est parti aussi en vacances, et Willy y sera en août. Pour aider, Théodore et Rodrigue sont arrivés depuis mardi. Je pense aussi à vous tous qui, en cette période des vacances, allez pouvoir vous reposer en famille ou retrouver des amis.

Dans l’évangile, il est beau de voir Jésus revenir à la maison ! Cela nous montre qu’il est profondément humain et que rien de ce que nous pouvons vivre ne lui est étranger ! Ce retour à Nazareth est une leçon pour ceux qui ne pensent ou ne peuvent prendre des vacances, faute de temps ou parce qu’ils pensent qu’il y a trop de boulot. En ce temps de vacances, pensons et prions toutes ces personnes qui vont partir ou revenir dans les lieux familiers, lieu de leur naissance, de leur enfance, lieu de souvenirs familiaux, des cousinades…. cesrassemblements familiaux que l’été nous donne l’occasion de vivre, mais  qui sont aussi parfois source de tension dans  nos familles.

Mais, même là aussi, annonçons la Bonne Nouvelle comme Jésus le fait à Nazareth ! Pour Jésus, tout lieu, même la famille, son village, sont des occasions et lieuxd’évangélisation. Nous savons toutefois qu’évangéliser et témoigner de sa foi en famille et dans les lieux familiers peut être rude. Jésus qui suscitait enthousiasme, admiration et foi adu mal à passer dans son propre village natal : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Si cela est arrivé à Jésus, pas étonnant que cela nous arrive dans nos familles. Je me rappelle quand je suis revenu, après la profession religieuse, dans mon quartier habillé en soutane blanche, en été 2000. Je rencontre une camarade de lycée qui me dit : « Non, Joseph, tu es prêtre ! On aura tout vu ! ». Rassurez-vous je n’étais pas un mauvais garçon ! Mais pour cette collègue, c’était inconcevable de voir un camarade de classe devenir un religieux…. Pensez à un journaliste, un grand patron ou un homme politique qui ose avouer publiquement, à la radio ou sur un plateau de télévision qu’il est chrétien, en France ! Il aura signé sa mort médiatique et politique !

Dans la première lecture, le prophète Ezéchiel est marquée dans sa mission aussi par le refus de Dieu de la partdu peuple. Il se rend compte très rapidement que Dieul’appelle à prendre sa part au refus même de Dieu : « Fils d’homme, je t’envoie vers les fils d’Israël, vers une nation rebelle qui s’est révoltée contre moi.  Jusqu’à ce jour, eux et leurs pères se sont soulevés contre moi.  Les fils ont le visage dur, et le cœur obstiné ; c’est à eux que je t’envoie. »

Chaque prophète (nous sommes prophètes par le baptême) est appelé pour porter et sentir dans sa propre chair le refus de Dieu, de la part des hommes et des femmes de son temps, au point d’être nous-même rejetés. C’est une manière de porter sa croix, de participer à humiliation subie parJésus.

L’évangile nous dit que dans la synagogue de Nazareth, « nombreux étaient frappaient d’étonnement ». Ils se rendent compte qu’il y a quelque chose de nouveau. C’est comme quand nous allez proposer, en rentrant chez vous pour le déjeuner de faire un bénédicité, ou ce soir, en sollicitant toute la famille pour faire une petite prière avant d’aller au lit. Cette demande va en émerveiller certains, mais d’autresrisquent de vous prendre pour un fanatique surtout si les gens prétendent vous connaître trop bien ! « Non, ce n’est pas lui. Il doit être sous la coupe, sous l’emprise du curé, d’un groupe chrétien ! », encore si l’on ne dit pas que vous faites partie d’une secte ! Trop connu pour être un prophète ! La prétendue connaissance que les habitants de Nazareth ont de l‘enfant du pays devient un obstacle à la réception de l’Evangile.  Saint Marc conclut par une formule lapidaire : « Et ils étaient profondément choqués à son sujet. »

Pour la première fois, Jésus est appelé « charpentier » dans l’évangile de saint Marc. Ce qualificatif, dans la bouche de ses concitoyens exprime plus qu’un simple attribut : En Israël, presque tous possédaient un petit lopin de terre à cultiver pour se nourrir. Celui qui l’avait perdu pour diversesraisons, pour survivre, devait faire de petits boulots modestes. Parmi ces petits boulots, il y avait des petites réparations, du bricolage avec du bois : un travail d’artisan qui ne gagnait pas beaucoup d’argent et que personne n’avait envie de faire. Ce boulot, Jésus l’avait appris de son père Joseph.

« N’est-il pas le charpentier ? » Cette expression nous dit aussi ce que furent les 30 ans de la vie cachée de Jésus à Nazareth avant sa mission publique : une existence absolument anonyme comme n’importe qui, à tel point que, pour les Nazaréens, cela est incompatible avec le fait queJésus fasse des miracles, enseigne avec assurance et autorité. Ils n’ont jamais vu les grands rabbins, bien connus etbeaucoup mieux instruits, faire cela, et ce ne peut être possible pour un simple charpentier. En plus, les gens savent bien de quelle famille il provient. « N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ?  Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » 

L’émerveillement du départ s’efface devant cette connaissance trop commune et familière. Les cœurs se ferment au lieu de s’ouvrir à la foi.  Ne laissons pas Dieudevenir trop familier, tellement habituel et commun au point de nous fermer à toute nouveauté qu’il peut apporter dans nos vies. Nous courons le risque que Dieu devienne tellement familier de nous, par nos missions, l’eucharistie, les études, la lecture de sa Parole au point de bloquer en nous la disponibilité intérieure à toute nouveauté qu’il veut nous proposer pour nous émerveiller. Ne devenons pas de experts de la religion, du rite liturgique, de la pastorale, de l’eucharistie dominicale ou quotidienne, de la prière communautaire, mais ouvrons-nous à ce Dieu tellement proche, mais toujours nouveau et dont l’amour se renouvelle chaque matin.

Que cette eucharistie nous obtienne la grâce de ne pas nous habituer au Seigneur, mais de nous émerveiller sans cesse de la nouveauté de son Amour, dans l’actualitépermanente de sa Parole et de tout qu’il fait en nous, par nous, pour nous et autour de nous. Amen.

Homélie du Père Joseph du XIV° dimanche du Temps Ordinaire, année B (2024)2024-07-07T11:25:12+02:00

Accueil paroissial

Depuis de nombreuses années, Janine et Marie-Anne font partie de l’équipe d’accueil à la paroisse de Tournefeuille. Elles témoignent aujourd’hui de leur vécu dans l’exercice de leur mission au service du doyenné.

Animées par le besoin de se rendre utiles et de conserver un lien social, elles se sont tournées vers l’accueil paroissial qui leur a permis d’agir au service des autres et en accord avec leur foi.

« Pendant nos permanences, nous avons accueilli les nouveaux arrivants et toutes les personnes qui se sont présentées à la recherche de renseignements sur le mariage, le catéchisme et les divers services de la paroisse.  Les demandes pour une messe à l’intention d’un défunt, pour une action de grâce et plus particulièrement pour une inscription au baptême sont nombreuses; ces dernières nécessitant une écoute attentive pour la compréhension des difficultés rencontrées par les familles dans leur vie quotidienne afin de planifier les 3 réunions de préparation nécessaires.

Savoir écouter reste la qualité essentielle requise pour assurer la mission d’accueil à la paroisse. L’écoute, l’empathie et l’expérience de la vie que confère un âge « certain » permettent d’instaurer un dialogue de confiance en particulier avec les personnes endeuillées pour qui le sens de la vie dans la solitude reste la principale préoccupation.

L’accueil à la paroisse, c’est aussi une équipe et l’échange entre personnes animées par la même foi, qui sont heureuses de se retrouver à la messe, lors des réunions de travail et aussi pour partager quelques friandises…

L’accueil, c’est faire un pas vers les autres pour les comprendre et les aider. C’est également un enrichissement personnel et la satisfaction d’avoir apporté une part de soi dans la vie de la commune.

Si vous disposez d’un peu de temps n’hésitez pas, venez rejoindre l’équipe d’accueil ».

Accueil paroissial2024-07-05T16:10:28+02:00

Le Conseil Pastoral paroissial et notre vision pastorale

En octobre 2022, nous avons vécu un temps fort, l’assemblée diocésaine qui a eu lieu à Pibrac.  Une année plus tard, le 15 août 2023, notre archevêque, Mgr Guy de Kerimel, a publié sa première lettre pastorale « L’Eglise de Toulouse, Famille de Dieu envoyée en mission ».  Ces deux événements ont donné un souffle nouveau à tout notre diocèse de Toulouse. Notre archevêque nous a rappelé l’importance d’être une famille ecclésiale dans laquelle chacun prend toute sa place et où nous nous soucions les uns des autres, collaborant à construire et faire grandir le Royaume de Dieu là où nous sommes et tout particulièrement dans les paroisses. Ministres ordonnés, membres de la vie consacrée, fidèles laïcs, nous sommes dans la même barque, conduite par le Christ qui nous conduit.

Mais, où veut nous conduire le Christ ?  Cette question a été au cœur du travail du tout nouveau Conseil Pastoral Paroissial mis en place à l’invitation du notre archevêque. Ce conseil – qui est différent de l’EAP – est composé d’une trentaine des personnes : des prêtres, diacre, religieuses, laïcs, responsables ou membres des services, groupes, mouvements, associations de nos 5 paroisses. Nous nous sommes réunis 4 fois à L’Oustal, accompagnés par Michèle Maraval du service diocésain de formation pour réfléchir sur la question de la vision pastorale, c’est-à-dire, chercher ensemble où le Seigneur veut nous conduire comme communauté paroissiale. Pendant ces quatre rencontres, nous avons fait connaissance. Nous avons écouté la Parole de Dieu et prié ensemble. Nous nous sommes mis à l’écoute les uns des autres, dans un climat fraternel, joyeux et respectueux de la parole de chacun. Nous avons posé un regard de vérité sur la réalité de notre communauté pour nous réjouir de ce que le Seigneur accomplit parmi nous, des belles choses que nous vivons. Nous avons aussi pointé nos manques et nos pauvretés, grâce aux 5 Essentiels pour la croissance de la mission (l’Adoration et la louange, Belle communauté grâce aux liens fraternels, la Charité dans le Service, le Devenir disciples par la Formation et l’Evangélisation). Nous avons aussi émis et exprimé nos rêves pour notre communauté, ce que nous aimerions voir naître et se développer.

Ces rencontres et tout ce travail nous ont aidés à construire une vision pastorale pour notre ensemble paroissial, confiants que c’est là que le Seigneur veut nous conduire. Cette vision n’est pas seulement celle du curé, de l’EAP, du conseil pastoral. Elle est la vision de toute notre communauté paroissiale et a besoin de chacun de nous pour être effective et concrète. Voici les termes de notre vision pastorale :

« Nous désirons bâtir ensemble une Église – famille de Dieu, où chacun est accueilli et accompagné personnellement, avec une attention aux plus faibles.

Nous voulons témoigner de la joie de l’Évangile qui nous fait vivre et annoncer le Christ à tous.

Nous voulons construire une communauté paroissiale unie dans la diversité, qui grandit à travers la participation de chacun de ses membres. »

Trois petites phrases où chaque terme est important. Les mots soulignés mettent l’accent sur ce qui est revenu le plus souvent. En automne, nous nous réunirons en grande assemblée paroissiale afin rendre grâce pour cette vision pastorale et voir ensemble les modalités de mises en œuvre concrètes à travers des projets et des actions portés par tous les groupes, services, mouvements et à travers chaque membre de notre communauté. Cinq personnes formeront le Bureau du Conseil Pastoral Paroissial. Il s’agit de Frédéric L, Benoît L, Annie T et Nathalie F et moi-même. Notre mission sera de proposer des sujets et de préparer les rencontres du conseil pastoral qui se réunit 4 fois par an.

Je dis un grand merci à chaque membre et rends grâce pour que ce que chacun a apporté cette année et apportera pour que grandisse notre communauté, la famille de Dieu qui est sur l’ensemble paroissial de Tournefeuille.

 

Le Conseil Pastoral paroissial et notre vision pastorale2024-05-31T15:53:22+02:00

Tournefeuille : L’Accueil vous accueille dans son équipe !

L’accueil ! Voici un pilier de la vie et des relations humaines. Nous avons tous ressentis une grande joie lorsque nous avons été accueillis quelque part, en particulier, lorsque nous ne connaissions personne. Dans la vie de l’Eglise, l’accueil est une des attitudes missionnaires indispensables, un accueil humain et chrétien.

En tant que membre de l’équipe de l’accueil paroissial, je vous indique en résumé comment fonctionne ce service : nous sommes actuellement six (et bientôt plus que quatre) et nous venons chacune à tour de rôle assurer une permanence les mardi, mercredi et jeudi soir de 16h30 à 18h dans la salle à l’entrée de l’église de Tournefeuille, l’accueil du samedi étant assuré par les sœurs de Saint Simon.

L’équipe d’accueil est à l’écoute pour rencontrer et informer les personnes dans leurs démarches auprès de notre Église. Notre intention est d’accueillir chacun, que ce soit pour un temps de d’écoute, de dialogue et d’échanges, un besoin de renseignements et d’informations sur la vie de la paroisse et de l’Eglise, une demande de sacrement (baptême, première communion et confirmation, mariage), une demande de messe pour un défunt ou pour rendre grâce pour un événement heureux de notre vie, ou le retour à la santé lorsque nous sommes malades, ou des informations pour le catéchisme et l’aumônerie. Dans la vie paroissiale, l’accueil est un moment essentiel. L’écoute est sans jugement et apporte beaucoup de joie à celui qui accueille. L’esprit Saint travaille en nous et fait avancer les choses avec ce que nous sommes. Cette mission nous permet aussi de vivre de belles rencontres.

Notre équipe va avoir besoin de se renforcer pour remplacer les collègues qui doivent prendre le large après des années de service. Si vous souhaitez rejoindre notre équipe, nous vous accueillerons avec joie et nous vous préparerons et vous accompagnerons pour vous aider à rendre ce service. RDV directement à l’accueil aux horaires d’ouverture ou auprès du secrétariat.  Laure

Tournefeuille : L’Accueil vous accueille dans son équipe !2024-06-07T16:12:37+02:00

La Fête de la Foi

Samedi 1er et dimanche 2 juin, à l’occasion de la solennité du saint sacrement et Corps et du Sang du Christ, ont été célébrées les messes de la Fête de la Foi à l’église saint Barthelemy de Plaisance-du-Touch. 31 jeunes de cinquième ont professé leur foi et 9 jeunes collégiens et lycéens ont reçu pour la première fois le sacrement de l’eucharistie (première communion). Grande joie pour notre ensemble paroissial !  Au cours de cette année d’aumônerie et un weekend de retraite, ces jeunes ont pris du temps pour le donner à Dieu : avec l’aide de leurs accompagnateurs, ils ont réfléchi à ce que « Je crois en Dieu » signifie, ce que cela veut dire pour eux, ce que cela veut dire pour l’Eglise qui professe la même foi depuis les apôtres. Ils ont découvert comment recevoir le corps du Christ leur permet d’être unis à Lui pour le suivre sur le chemin qu’Il leur propose. Je remercie les parents et tous les animateurs d’aumônerie qui ont donné du temps pour les accompagner pendant ces temps particuliers, sans qui rien ne serait possible !! Je rends grâce pour ces beaux moments vécus et je confie ces jeunes à votre prière afin qu’ils soient chaque jour affermis dans la foi qu’ils professent, personnellement et en Eglise. Christine Mazet, responsable d’aumônerie.

La Fête de la Foi2024-06-07T16:11:09+02:00

Nuit des églises à Saint-Simon

Initiée en 2011 par l’Église catholique en France, la Nuit des églises, est une manifestation cultuelle et culturelle à laquelle participent chaque année plusieurs centaines d’églises.

Selon Mgr Jean Legrez, archevêque d’Albi, initiateur du projet, « cet événement répond à une double mission : d’une part, permettre aux communautés chrétiennes locales, même dans les plus petits villages, de faire vivre ou de se réapproprier leur église, lieu de leur histoire et de leur enracinement ; d’autre part, ouvrir leurs portes et accueillir largement tous ceux qui se présentent : artistes, visiteurs, curieux, personnes qui s’interrogent… Lors d’une même semaine, partout sur le territoire de notre pays, cela constitue un signe fort d’unité et de manifestation vivante de l’Église rendue visible à travers nos églises ».

Pour la première fois cette année, la paroisse de Saint-Simon s’associera à cette manifestation, le dimanche 23 juin, avec un programme en 3 temps :

18h célébration de l’Eucharistie à l’église (pas de messe le matin)

19h apéritif et repas partagé au presbytère

20h30 soirée « nuit des églises »

Pour débuter la soirée, une sonnerie festive des cloches invitera à se rassembler sur le parvis. On entrera ensuite dans le narthex puis dans l’église pour une déambulation par étapes, allant vers le chœur, puis devant chacune des chapelles et dans la sacristie où seront exposés les « trésors » de l’église. Ces étapes seront ponctuées de chants et de musique (guitare, orgue) et seront l’occasion de découvrir l’histoire de la paroisse et de la construction de l’église.

Des affiches annonceront cet événement qui se veut largement ouvert, accueillant non seulement les membres de la communauté locale mais aussi ceux de tout l’ensemble paroissial et les habitants du quartier.

Nuit des églises à Saint-Simon2024-06-07T16:27:33+02:00

Une formation Fidei donum pour mieux servir dans la mission

Une formation Fidei donum pour mieux servir dans la mission.

Depuis le mois d’octobre 2023, nous participons à la formation Fidei donum dans le but de faciliter notre intégration aux réalités de l’Eglise et de la société française.

Il convient avant tout de préciser le terme Fidei Donun qui se traduit par Don de la foi. Fidei donum relève de l’initiative du Pape Pie XII qui, dans un esprit de collaboration, lançait en 1957 une dynamique nouvelle de coopération missionnaire entre les Eglises particulières. Dans cette coopération, une Eglise recevrait d’une autre les prêtres au service de la Mission. Ainsi, le prêtre envoyé dans un tel contexte est appelé à devenir missionnaire au service de l’Eglise sœur. Il est appelé Fidei donum, don donné et reçu, don donné par une Eglise d’un pays et reçu par une autre Eglise d’un autre pays de la même Église Universelle.

L’objectif de la formation est d’aider le prêtre Fidei donum à s’intégrer aux réalités de l’Eglise qui l’accueille, à prendre conscience des enjeux pastoraux, de la culture, à s’imprégner des défis et enjeux auxquels l’Eglise fait face aujourd’hui et à éveiller s sa conscience missionnaire. D’où l’importance de cette formation. Cette formation s’effectue à deux niveaux :

En région d’Occitanie, 6 sessions sont organisées et assurées par l’Institut Catholique de Toulouse au profit de 23 prêtres Fidei donum chaque mois pendant 3 jours.

Au niveau national, cette formation se vit en 3 sessions prévues par la Conférence des évêques de France à travers le Conseil pour la Mission universelle de l’Eglise.

Cette année, une session Welcome s’est tenue en avril à la maison Saint Vincent de la Haÿ-les-Roses, regroupant 34 prêtres venant de plusieurs pays.

Cette formation, sous son double aspect, engorge plusieurs avantages pour les prêtres venant d’ailleurs. Elle leur donne la possibilité de se rencontrer, de se découvrir pour faire connaissance, de partager des expériences et surtout de profiter des riches enseignements et témoignages des intervenants. Ce qui permet d’atténuer le choc interculturel et ainsi d’épouser la diversité culturelle qui enrichit et harmonise la mission. Nous sommes heureux de participer à ces formations en vue de notre mission ici en France. Pères Willy et Vital

Une formation Fidei donum pour mieux servir dans la mission2024-05-10T15:54:14+02:00

Témoignage de Maïmouna

Cela fait plus de 5 ans maintenant que Jésus est entré dans ma vie.

Je l’ai rencontrée par le biais de ma mère et de mon grand-oncle, il a été depuis ce jour la plus belle rencontre et la meilleure décision que j’ai pu prendre.

Choisir de suivre Jésus a été comme une évidence et aujourd’hui cela m’a emmené à me faire baptiser à l’Église catholique jusqu’à demander la confirmation cette année.

Je ne sais ce que le Seigneur à prévu pour moi et je lui fais confiance, il m’a permis de connaitre l’Église, la vie chrétienne en communauté.

Chaque jour j’apprends, je découvre davantage le Christ, mon objectif premier est de constamment être proche de lui comme il l’est de nous, de faire mon possible.

Grâce à Dieu, je vis le coeur léger et suis heureuse, reconnaissante d’être accompagnée par mon ensemble paroissial dans cette avancée qu’est la confirmation au baptême.

Amicalement, Maïmouna (22 ans)

Témoignage de Maïmouna2024-04-26T14:31:53+02:00
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