À propos de Secrétariat EP Tournefeuille

Secrétariat de l'Ensemble Paroissial

Quelle joie d’avoir été à Taizé !

Une douzaine de lycéens de l’ensemble paroissial de Tournefeuille sont partis en retraite à Taizé sur la première semaine des vacances de février, ils sont rentrés sur un nuage, voici quelques témoignages.

« Pour moi, Taizé, c’est vraiment des rencontres avec des personnes magnifiques qui m’ont permis de grandir dans ma foi et de grandir dans ma confiance en moi aussi. J’en garde les souvenirs de partages bibliques, qui m’ont donné encore plus envie de lire la Bible et de suivre la vie de Jésus » Jeanne

« C’était mon premier Taizé et j’ai vraiment aimé cette semaine ! Ça a été un moment magique, hors du temps. J’ai beaucoup aimé le rythme des journées et les temps de prières. » Mathilde

« Taizé m’a permis de faire une pause dans ma vie pour me recentrer sur moi-même mais aussi de faire de magnifiques rencontres ». Pierre

 » Une semaine remplie de richesses humaines et spirituelles qui nous apprend la vie en communauté, on en ressort toujours grandi. »

Nous rendons grâce pour ces jeunes, et remercions Barbara et Florence, leurs accompagnatrices qui ont passé toute la semaine avec eux.

Quelle joie d’avoir été à Taizé !2025-03-06T11:45:36+01:00

Cérémonie mémorielle diocésaine sur les abus dans l’Église

Cérémonie mémorielle diocésaine sur les abus dans l’Église

A l’invitation du pape François, les évêques de France ont décidé la tenue annuelle d’une journée de prières pour les victimes de violences sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église qui se tient traditionnellement le 3ème vendredi de Carême.

En 2025 , il vous est proposé de vivre cette cérémonie sous la forme d’un chemin de croix.

Chemin de croix avec Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire

Vendredi 28 mars 2025 à 19h00 à l’église Saint Sauveur de Borderouge

 

Cérémonie mémorielle diocésaine sur les abus dans l’Église2025-03-05T10:32:43+01:00

Célébrer l’Avent avec les enfants de l’école primaire Sainte Emilie de Rodat

« Je te bénis Père, Seigneur du ciel et de la Terre ! Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits » dit le Seigneur !
Quelle joie ce matin, à l’église saint Michel de Lardenne ! Nous avons célébré l’Avent avec les élèves en deux temps. D’abord, les lus petit, de la Petite section au CE1 à 9h15, puis les plus grands CE2-CM à 10h30. Une église remplie par des enfants accompagnés par quelques parents, la directrices, l’animatrice en pastorale et les enseignants. Nous avons chanté la joie de Noël qui approche at fait une relecture de tout le chemin parcouru depuis le début de l’Avent : Veillez, priez, partagez… et ouvrez grand votre cœur car le Seigneur vient.
Au cours de la célébration, les élèves ont déposé au pied de la crèche les boites et cadeaux préparé pendant tout l’Avent au bénéfice d’une association tournefeuillaises qui accompagne les étudiants en difficultés, qui sont obligés de travailler en plus de leurs études pour boucler les fins du mois. ! Nous rendons grâce pour la générosité de ces enfants qui nous apprennent que Noël est un appel à la Joie, à la Paix et au Partage.

Célébrer l’Avent avec les enfants de l’école primaire Sainte Emilie de Rodat2024-12-20T11:46:38+01:00

Repas du Secours Catholique

Ce jeudi 19 décembre, comme chaque année, les bénévoles du Secours Catholique de Tournefeuille ont organisé un repas festif à l’approche de Noël. Nous nous sommes réunion dans la salle saint Pierre, plusieurs dizaines de personnes venant de différents continents et de plusieurs nationalités. Et tous n’étaient pas catholiques…. Parmi nous, il y avait des catholiques, des musulmans, des protestant, des orthodoxes, tous unis autour du même projet : venir en aide aux plus faibles. Les bénévoles et les accueillis ont apporté, chacun selon ses possibilités, quelque chose à partager. Nous avons vécu un très beau moment fraternel, un temps de joie partagée, oubliant pour un peu de temps les nombreux soucis des accueillis au Secours Catholique.
Nous avions la joie d’avoir parmi nous la nouvelle déléguée du Secours Catholique Toulouse- Ariège. Quelle joie de voir aussi nos prêtres avec nous. Nous rendons grâce au Seigneur pour toutes les personnes qui, dans nos paroisses, s’engagent au service de plus pauvres : « j’avais faim, vous m’avez donné à manger, j’avais soif, vous m’avez donné à boire, j’étais nu, vous m’avais habillé, j’étais un étranger, vous m’avez accueilli, j’étais malade, vous m’avez visité, j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi….. Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ! » dit le Seigneur !

Joyeux Noël et belles fêtes de fin d’année à vous tous, dans la joie et le partage !

Repas du Secours Catholique2024-12-20T10:56:46+01:00

Merci pour votre don au Denier !

« 1 sur 3…. Oui 1 sur 3 : en moyenne, selon une étude de la Conférence des évêques de France, seulement un catholique pratiquant, c’est-à-dire qui vient à la messe chaque dimanche, sur trois participe au denier de l’Eglise. Est-ce votre cas ?
« Oui mais je donne à la quête ! » me direz-vous aussi. Merci beaucoup ! ! Grâce à la quête, nous pouvons avoir une église propre et fleurie, acheter les bougies et cierges, les hosties, le vin, chauffer l’église l’hiver, payer l’électricité, entr’autres….! La quête dominicale et le denier n’ont pas la même destination et ne répondent pas aux mêmes besoins. Le denier est la ressource principale de l’Eglise qui ne reçoit aucune subvention de l’Etat en France.
Le denier sert à financer les traitements de nos prêtres, compléter la retraite des prêtres âgés qui continuent à célébrer des messes, en particulier pour nos défunts. Il finance aussi les salaires des laïcs en mission ecclésiale dans le diocèse, notamment ceux des responsables de la catéchèse et qui forment nos catéchistes, mais aussi ceux qui organisent des projets pour les jeunes et les familles, la diaconie…
Si le denier baisse, les prêtres finiront par être moins nombreux, les projets missionnaires également et l’Eglise moins vivante pour vous accueillir. Pas besoin de donner beaucoup : comme on dit, les petits ruisseaux font les grandes rivières ! Mais votre participation à tous est essentielle ! Le Seigneur bénit ceux qui donne le cœur joyeux ! Un appel particulier aux plus jeunes qui sont le moins représentés parmi les donateurs au denier (moins de 55 ans)
Nous avons la joie d’accueillir, depuis la rentrée, une nouvelle communauté : trois frères franciscains de l’Immaculée (Clément, Justin et Jean, le dernier arrivé !) Nous rendons grâce ! Leur présence manifeste la vitalité missionnaire de notre ensemble paroissial et le poids de nos paroisses dans le diocèse de Toulouse. Comme disait notre archevêque lors de notre messe de rentrée au Phare le 22 septembre dernier, « alors que les prêtres diminuent dans le diocèse, ils augmentent sur votre ensemble paroissial » ! C’est un bon signe pour nous et indique qu’il y a du boulot qui nous attend !
Mais, la venue des franciscains de l’Immaculée implique aussi des nouvelles dépenses et charges pour le diocèse, pour l’ensemble paroissial, en particulier pour la prise en charge de leur traitement mensuel et des travaux en cours au presbytère de Plaisance-du-Touch pour leur installation progressive et un meilleur confort.
En ces semaines qui nous séparent de la fin de l’année civile et fiscale, nous vous rappelons que l’Eglise a grandement besoin de votre soutien, de votre don au Denier qui vous permet aussi d’avoir une déduction fiscale.
A la fin des messes et au fond de nos églises, vous pouvez prendre une enveloppe du denier, pour faire votre don, si vous ne l’avez pas déjà reçue. Vous pouvez déposer l’enveloppe dans la corbeille de la quête à la messe du dimanche, l’envoyer au presbytère, au secrétariat paroissial ou directement à l’archevêché.
Vous pouvez donner encore plus simplement en ligne : www.mondenier.com, en précisant le nom notre ensemble paroissial. Il est aussi possible de le faire par prélèvement automatique mensuel, ce qui a l’avantage de ne pas oublier. Merci pour votre générosité.

Merci pour votre don au Denier !2024-12-10T09:15:29+01:00

La Frat-Taizé de nos lycéens !

Ce vendredi 22 novembre dernier, une 60aine de jeunes lycéens et une vingtaine d’adultes
se sont réunis pour vivre ensemble une soirée de prières à la manière de Taizé dans la salle
saint Pierre de la paroisse de Tournefeuille.
Ensemble, ils ont pu faire un partage d’Evangile intergénérationnel, nous rappelant que la
Parole de Dieu est une nourriture pour notre vie de foi. Ils ont ensuite partagé un repas
apporté par leurs soins. Au cours de la soirée, ils se sont penchés et médité sur quelques
béatitude, telles que :
Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Enfin, ils ont prié tous ensemble.
Le tout, bien entendu, assorti de nombreux chants de Taizé, que 4 jeunes du groupe musical
des jeunes de l’ensemble paroissial ont accompagné avec leurs instruments
magnifiquement.
Merci Seigneur, pour cette soirée de prière fraternelle et intergénérationnelle et pour tout ce
que ton œuvre dans les cœurs de nos jeunes et des adultes qui les accompagnent.

La Frat-Taizé de nos lycéens !2024-12-04T12:16:47+01:00

Homélie du Père Joseph pour la solennité du Christ roi de l’univers, année B (2024)

Mes chers frères et sœurs !
Aujourd’hui encore c’est-à-dire fin 2024, il existe encore plus 45 monarchies ! Elles assument diverses formes. De royaumes comme celui du Maroc, des Emirat comme les Emirats Arabes Unis, des sultanats comme celui de Brunei, des principautés comme de Monaco, et même un empire, celui du Japon ! Nous avons des grands-duchés comme le Luxembourg. Il y a même un Etat-Cité unique en son genre : le Vatican qui fait du pape un Chef d’Etat. Jadis, ces régimes monarchiques avaient un pouvoir absolu, mais aujourd’hui, beaucoup sont devenus des monarchies constitutionnelles ou parlementaires, le monarque ayant souvent rôle symbolique. La reine Elisabeth, véritable icône pour de nombreuses générations a laissé place au roi Charles III au Royaume-Uni, avec un pouvoir symbolique, culturelle et économique sur plus de 54 nations du Commonwealth dont font partie désormais certains Etats de la France Afrique en voie de disparition comme le Gabon et le Togo.
Outre ces monarchies, il existe d’autres type de royaume et ou d’empire : digital, médiatiques, des plateformes sociales, les multinationales technologiques qui gouvernent, contrôlent et soumettent nos vies au quotidien. Et, il y a aussi des dominations symboliques : les marchés financiers qui font trembler les Etats par les notations, les idéologies dominantes qu’on n’a même pas droit de critiquer de peur de se faire condamner, lyncher médiatiquement ou juridiquement, les « stars » qui régnant sur le monde de la culture, du spectacle, du sport…
Dans ce contexte, l’Eglise célèbre pourtant aujourd’hui la solennité du Christ-Roi de l’Univers, instituée par le pape Pie XI en 1925 en réponse aux totalitarismes de l’après la Première Guerre Mondiale. L’intention du pape Pie XI était claire : rappeler que l’unique vrai Souverain de l’univers est le Christ. J’ose même dire que celui qui introduit cette fête, ce n’est pas tant le pape Pie XI, mais bien, avant lui, le Ponce Pilate quand il présente Jésus de Nazareth comme Roi des Juifs, avec cette inscription accrochée au-dessus de la croix où est suspendu Jésus au Golgotha en trois langues (le grec, le latin et le l’araméen) que tout le monde pouvait comprendre à cette époque. Jésus se proclame Roi mais il précise immédiatement de quelle royauté il s’agit. « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici » Quand Pilate lui demande « tu es roi ? », Jésus fait une distinction entre le règne temporel (dis-tu cela de toi-même) et le règne spirituel (roi des juifs au sens messianique !). Il définit clairement quelle est sa mission : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. »
Mais qu’est-ce qu’est la vérité ? C’est la grande question qui nous est posée ! Dans une époque comme la nôtre où le relativisme et le fonctionnalisme refusent tout concept de vérité absolue, le message de Jésus nous interpelle. Dans un monde de « fake-news », des influenceurs, des manipulations médiatiques, des réseaux sociaux où la vérité compte pas grand-chose, Jésus nous invite à chercher la Vérité et à en témoigner.
Ponce Pilate avait commencé un bout de chemin de dialogue et était sur le point d’être conquis par ce que disait Jésus, au point de vouloir le libérer : « Je ne trouve en lui aucun motif de condamnation ! » L’épouse de Pilate a même essayé de l’aider à mieux comprendre ce qui se passait. Cependant, quand Jésus est accusé d’être ennemi de l’empereur César, Pilate voit le danger de perdre ses chances de faire carrière en Palestine. Au lieu de choisir d’être l’ami de la Vérité, Pilate a choisi d’être l’ami de César, du mensonge et se lave les mains.
Nous aussi, parfois nous préférons choisir l’esprit du monde, du mensonge, nous compromettre la vérité pour sauvegarder nos intérêts personnels dans le domaine politique, économique, professionnel, affectif et même religieux. Parfois nous nous trouvons devant des choix comme celui de Pilate : choisir entre celui qui a le pouvoir politique, économique, médiatique, voire religieux, et l’amitié avec Jésus, la Vérité, l’Amour ? Comme Pilate, nous nous lavons les mains, préférant ne pas choisir mais oubliant que ne pas choisir, c’est aussi faire un choix : celui de nous éloigner de la Vérité.
J’ai rencontré il y a quelques mois jeune converti, un néophyte qui s’est trouvé pendant longtemps devant un dilemme similaire à celui de Pilate. Il travaillait pour un homme politique français dont il était le négrier, c’est-à-dire qu’il lui écrivait ses discours et interventions publiques. Il a dû démissionner parce qu’il ne supportait plus d’être l’ami du mensonge. Il m’a dit : « A un certain moment, ta conscience t’interdit de faire des choses auxquelles tu ne crois pas. Tu écris des discours pour dire aux gens ce qu’ils veulent entendre, tout en sachant au fond de toi que c’est faux, du mensonge et de la manipulation, et tu le fais quand même. A un certain moment, ta conscience te dit stop, ça suffit ! »
Tous ces règnes, royaumes, monarchies, empires, régimes et puissances politiques que nous avons mentionné ont disparu et disparaitront un jour. La grande histoire nous montre tous ces impérialismes qui se sont écroulés. On voit bien qu’aujourd’hui les enjeux géopolitiques et puissances sont en pleines mutation. Nous avons vu des puissances naître et disparaitre, pour laisser place à de nouvelles qui ont aussi disparus à leur tour etc… Nous voyons toutes les célébrités dans le sport, les médias, le monde politique et économiques décliner pour laisser place à d’autres qui déclineront. Et il suffit de très peu pour voir une star tomber du piédestal, perdre de son influence et de sa superbe.
Jésus au contraire, est un roi éternel et son Règne est éternel parce que c’est lui le vrai Roi, non seulement de Rome et du monde, mais de l’Univers visible et invisible. Pilate a posé à Jésus la mauvaise question. Au lieu de lui demander « qu’est-ce que la vérité », il aurait dû demander « qui est la vérité ? ». La vérité n’est pas une chose, mais quelqu’un. Jésus a dit en effet, « Je suis la Vérité et la Vie ». Pilate aurait dû se laver, non pas les mains mais les yeux pour voir la Vérité debout devant lui, la Vérité que la foule manipulée par le mensonge voulait crucifier comme aujourd’hui encore. Pilate a voulu rester ami de César pour quelques années au lieu de choisir d’être l’ami de Jésus pour l’éternité.
Comme Pilate, de qui voulons-nous être l’ami ? Qui gouverne nos vies ? Qui est le souverain devant qui nous nous prosternons, à qui nous obéissons aveuglement au quotidien ? Le Christ ou le monde ? La Vérité ou le mensonge ? L’Amour ou la haine ? La vie éternelle ou négocier quelques années en ce monde ? Jésus, Roi de l’Univers, sois le maître de ma vie, de notre vie. Avec et à l’invitation frère universel, Charles de Foucault, nous nous abandonnons à toi Jésus, Roi Souverain, fais de nous ce qu’il te plaira. Nous nous abandonnons entre tes mains, Roi de l’Univers parce que nous aimes sans mesure ! Amen

 

 

Homélie du Père Joseph pour la solennité du Christ roi de l’univers, année B (2024)2024-11-26T11:12:54+01:00

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage de Mathieu

Bonjour, je m’appelle Mathieu j’ai 18 ans.

Je suis né dans une famille chrétienne avec des parents pratiquants et investis dans la paroisse. C’est ainsi que j’ai été baptisé tout petit. J’ai ensuite suivi un parcours de foi traditionnel, catéchisme, première communion, profession de foi mais Dieu n’était pas quelque chose de très concret pour moi. Il n’avait pas une très grande place dans ma vie. J’allais à la messe certains dimanches mais surtout parce que mes parents m’y obligeaient sinon je n’y allais pas, je trouvais ça assez ennuyeux.
Ce que j’aimais surtout c’étaient les jeux vidéo et regarder YouTube. J’y passais la plupart de mon temps libre quitte à laisser mes parents tout faire à la maison ou à ne pas dire bonjour lorsque de la famille arrivait à la maison.
À vrai dire j’avais du mal à prendre les autres en considération et ne pensais pas beaucoup à eux j’étais plutôt centré sur moi. Ma vie était banale sans trop de sens et je n’avais pas trop de problèmes, je faisais ce que les jeunes de mon âge faisaient.
Mais ça c’était avant mes 14/15 ans, avant que Jésus entre vraiment dans ma vie et qu’il me change.
Je me souviens c’était le 13 juillet 2021, j’avais presque 15 ans. J’étais en pèlerinage « Pélé VTT » à la soirée adoration réconciliation.
C’est à ce moment-là que pour la première fois j’ai ressenti l’Amour de Dieu dans mon cœur. Je ressentis au fond de moi la présence réelle de Jésus. C’était tellement fort, tellement doux, apaisant et réconfortant que je pleurais de joie. Mon cœur était tout brûlant de cet Amour qui m’était donné. Nulle part ailleurs je n’avais pu vivre un tel moment c’était tout nouveau. Cette expérience a ouvert une porte, et petit à petit Jésus est entré dans ma vie.
Cette première expérience fut la première d’une longue série comme lorsque je suis allé en pèlerinage à Taizé en février 2023. Le soir après la prière je me souviens, je discutais de Dieu avec une amie et là j’ai senti de nouveau cet Amour de Dieu mais cette fois c’était le niveau supérieur, à tel point que j’en pleurais et tremblais de joie : je sentais le Saint-Esprit qui me faisait vibrer tout entier. La joie, la paix de Dieu remplissaient mon cœur.
Encore à ce jour c’est le moment où j’ai été le plus heureux de ma vie. En comparaison, les cadeaux, les jeux vidéo, YouTube, les réseaux sociaux ne sont rien.

Ces deux expériences ne sont que quelques exemples de ce que j’ai pu ressentir à partir de mes 15 ans. En effet quand je fais du bien autour de moi, quand je prie, quand je vais à la messe, quand je contemple simplement la nature je ressens cet Amour et cette paix simple et infinie qui remplit mon cœur. Ce n’est pas toujours aussi fort et impressionnant mais cela suffit à me réconforter, à me rendre heureux et à me donner la force de faire le bien autour de moi.

Ce que j’ai vécu m’a petit à petit rendu meilleur. Dieu a concrètement modifié en moi tant de choses. Je suis devenu plus bienveillant, gentil et altruiste. Par exemple je m’investis maintenant beaucoup pour aider mes camarades ce que je n’aurais jamais fait avant. Et ils reconnaissent que ce que je fais est bien et ils me le disent « merci », « tu es un bon, toi ».
J’ai développé un plus grand respect pour la planète en changeant ma façon de vivre. Par exemple : ne pas hésiter à faire des kilomètres à vélo même sous la pluie, ramasser les cannettes dans la rue …
Au fur et à mesure s’est développée en moi une plus grande volonté, me permettant ainsi d’arrêter totalement YouTube, les jeux vidéo qui devenaient une addiction. Me donnant la force de me lever 15 min plus tôt pour prier chaque matin, etc.
Aussi même si cela m’est encore difficile, je ne peux que constater l’amélioration de mon regard sur les autres, de plus en plus je les vois et je les accepte comme ils sont, sans jugement. Quand je prends du recul et regarde mon existence le constat est là, Jésus est vraiment entré dans ma vie et petit à petit, il m’a complètement changé. Je suis mieux et ça se voit, l’Amour est devenu le sens de mon existence.
Je ne suis pas parfait pour autant mais Dieu continue à me transformer et à me rendre meilleur chaque jour. Je crois fermement que si vous le voulez il fera de même pour vous !

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage de Mathieu2024-11-14T09:38:41+01:00

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage de Béatrice

-Bonjour, je m’appelle Béatrice, j’ai 16 ans et aujourd’hui je vais vous raconter comment j’ai rencontré Dieu. Tout d’abord je suis née dans une famille catholique, où concrètement on allait à la messe essentiellement aux grandes fêtes (Pâques, Noël). J’ai été baptisée bébé. J’étais aussi inscrite au catéchisme, puis à l’aumônerie. Pour moi croire en Dieu ça consistait à croire en son existence mais rien de plus. J’ai donc fait ma première communion, puis ma profession de foi, mais sans avoir complètement la foi.

-Pour moi, tout commence vraiment en janvier 2023. À ce moment-là je commence à préparer ma confirmation. La confirmation c’est une cérémonie religieuse au cours de laquelle on renouvelle ses vœux de baptême et où on se prépare à recevoir le don du saint Esprit. Donc pour préparer cette cérémonie, on a beaucoup de soirées et week-end de préparation pendant lesquels on mène des réflexions autour de Dieu. Peu à peu je commence à me questionner sur ma relation avec Dieu, mais j’ai tendance à laisser ces questionnements de côté.

-Puis un soir, en mai, je me mets à prier dans ma chambre, sur un coup de tête, le Notre Père et ça devient un rituel, je commence à prier un peu chaque soir.

-Je poursuis mon cheminement et c’est en été 2023, que je vais vraiment ouvrir mon cœur à Dieu. À ce moment-là tout va bien dans ma vie concrètement, mais je me sens terriblement seule et vide, je ne trouve pas de but à ma vie ou d’objectif.
→ Je suis en vacances et mon grand-père me demande si je veux aller à la messe et j’accepte. Il faut savoir que je n’ai jamais aimé aller à la messe, j’ai toujours trouvé ça long et ennuyeux. Mais ce jour-là, pour la première fois je suis ressortie de l’église et je me suis dit « wow j’ai aimé la messe ». Alors je ne me rappelle plus sur quoi elle était, mais je me rappelle très bien en être sortie en me sentant apaisée, mais d’une manière toute nouvelle.

-Le temps passe, on arrive en septembre ou octobre 2023, je retourne à la messe et ce jour-là, il y avait le baptême d’un bébé qui m’était complètement inconnu, mais j’ai été très émue, limite les larmes aux yeux de le voir se faire baptiser. J’ai ressenti de la joie pour lui et ça m’a rendue super joyeuse. C’est à partir de ce moment que j’ai compris que Dieu avait pris une place importante dans ma vie et que son amour était puissant.

-Puis on arrive en novembre 2023, je fais enfin ma confirmation. Sur le moment je n’ai rien ressenti de particulier, j’étais juste heureuse d’être là, entourée de ma famille et mes amies. Puis petit à petit, dans les semaines et les mois qui ont suivi j’ai eu de plus en plus envie d’aller à la messe, puis de lire la Bible. En fait ces moments-là m’apportaient une sérénité nouvelle. J’ai une réelle soif de découvrir Dieu qui est apparue.

-Aujourd’hui je ne me sens plus vide, je suis remplie de l’amour de Dieu. Il m’a apporté une forme de paix intérieure, une paix que je ne peux ressentir nulle part ailleurs qu’aux cotés de Jésus. Je n’ai toujours pas trouvé de but précis, mais je sais maintenant que si Dieu me réveille chaque matin, je dois avoir quelque chose à apporter dans ce monde.

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage de Béatrice2024-11-14T09:36:43+01:00

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage d’Yléis

Bonjour, je m’appelle Yléis, j’ai 16 ans et je suis en première au lycée Françoise.
Alors mon parcours de foi a commencé tôt car je suis née dans une famille chrétienne qui m’a donc fait baptiser 1 mois et demi après ma naissance. Bien que chrétienne, ma famille n’était pas pratiquante, nous allions à l’église pour les mariages ou pour les fêtes comme Noël ou Pâques. Nous faisions toujours la crèche sous le sapin et la religion était plus ou moins évoquée dans la famille. Ma mère voulait que j’aille faire du catéchisme mais mon père était contre donc je n’en ai pas fait.
J’ai eu une enfance compliquée, ma vie était douloureuse alors sans trop savoir comment faire j’ai commencé à prier pour que ça change en enchaînant des mots, pour demander et remercier, j’avais 5/6 ans.
Ensuite les choses ont peu à peu changé et j’ai commencé à aller mieux je le liais un peu à Dieu et puis ma mamie me transmettait son attachement à la religion car elle était très pieuse. Donc on allait de temps en temps à l’église, notamment en voyage. Donc entre mes 6 et 10 ans j’ai appris de plus en plus de choses sur Jésus.
Puis vers mes 12 ans ma grand-mère est décédée et j’ai prié son retour et j’ai regretté de ne pas m’être plus intéressée à la religion de son vivant pour partager cela avec elle. Comme il n’y avait pas de catéchisme à Plaisance alors de mon côté et sans en parler à personne j’ai lu des passages de la Bible, j’ai regardé des vidéos et j’allais à l’église toute seule pour prier.
En 3ème, vers 14 ans j’ai eu des problèmes de santé et j’ai recommencé à prier et j’ai vraiment ressenti l’aide de Jésus dans les personnes qu’il m’a envoyées. Cela a été pour moi un soutien énorme, mon état s’améliorait et il m’a vraiment aidé dans mon combat.
Et puis il y a eu le déclic quand je suis rentrée au lycée, j’ai fait la rencontre de Mado et le sujet est venu naturellement. Je lui ai parlé de ma situation et c’était la première fois que je le faisais. Cela a été un grand bonheur, elle m’a parlé de l’aumônerie et m’a proposé d’essayer. Je suis venue à ma première séance, j’étais extrêmement stressée mais Mado et une autre amie Iléana étaient là et j’ai découvert peu à peu un endroit calme où je me sentais bien et je prenais vraiment du plaisir à venir à l’aumônerie et à la messe.
Puis j’ai fait la connaissance d’une autre amie croyante qui m’a clairement été envoyée par Dieu, je partage ma foi avec elle et on va à l’église ensemble etc…
Puis on m’a proposé de faire la première communion et pour moi cela faisait sens alors j’ai accepté et commencé les séances de préparation et j’ai complètement eu l’impression de rencontrer Jésus. Chaque moment à l’aumônerie ou lors des séances de préparation étaient des moments de réconfort, de calme et d’apaisement. Lors du week-end de retraite j’ai vécu le même sentiment mais en x1000 car j’étais complètement déconnectée du monde extérieur.
Peu avant ma communion, la fille de mon parrain a demandé que je devienne sa marraine car elle allait se faire baptiser. J’ai immédiatement accepté car j’ai vu cela comme un signe du Seigneur qui me donnait l’occasion de transmettre ce que j’avais reçu et de l’accompagner le plus possible dans sa foi pour qu’elle n’ait pas à le faire seule.
Le jour de ma communion est arrivé et je pense que cela a été l’un des plus beaux jours de ma vie. La messe ce jour-là, fut réellement la messe la plus belle que j’ai faite, je n’ai pas arrêté de pleurer et au moment de recevoir l’Eucharistie je ne pouvais pas m’empêcher de fermer les yeux pour vivre le moment à 100 %. Et j’ai sincèrement eu l’impression que Jésus me prenait dans ses bras et m’accueillait. Depuis ce jour, j’ai l’impression qu’il m’accompagne dans chaque moment positif ou négatif et qu’il fait tout pour faire ressortir le meilleur de moi.
Ces derniers mois, j’ai clairement ressenti que les moments où je priais moins, ma vie allait moins bien alors j’essaie de prier le plus possible et j’y trouve un apaisement fou. Je vais à l’église après les cours au moins une fois par semaine pour déposer un cierge et prier. C’est vraiment devenu un besoin essentiel dans ma vie.
Je prie même dans la journée le Notre Père ou je vous salue Marie pour les moments importants pour moi ou mes proches. J’ai aussi commencé à écouter des chansons religieuses notamment celles de « Junior BSG » qui fait des chansons modernes mais avec des paroles chrétiennes, ce qui m’apporte énormément de bonne humeur dès le matin.
S’il y a bien une chose qu’il faut retenir de mon témoignage, c’est qu’il ne faut pas forcément naître dans une famille chrétienne pour aller vers Jésus. Et qu’il n’est jamais trop tard.
J’aimerais terminer avec l’un de mes versets préférés que je dédie à Jésus mais également à Mado et Iléana qui m’ont aidée à en arriver là ; « C’est que tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t’aime » Esaïe 43:4

Ma rencontre avec le Seigneur : Témoignage d’Yléis2024-11-08T14:33:34+01:00
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